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Affichage des articles du août, 2018

Quoi ? La poésie

Avec pudicité et sincérité, la poésie apporte bien des forces lorsque les tourments grondent, que le cœur en souffrance ne trouve plus assez d'apaisement et qu'il s'effondre, reste une plume pleine de mots pour y répondre.

L'oisillon

Loisillon sur un arbre,  Chante sa liberté, Libre de senvoler, Il part. Le soleil de par ces rayons,  Lui éclaire la terre. Le vent de par sa force,  Lui fait frissonner. Pourquoi vivre dans cette vie  Pleine de surprises ? Mais avec ses yeux rayonnants, Il est aimable. Ainsi son cœur bat très vite,  Il a peur. Peur des difficultés de la vie.

La triste lune

Le jour s'évanouit peu à peu, Si sombre et si triste ! Le soleil disparait peu à peu, Derrière la montagne bleue. La nuit dans toutes ses formes,      S'annonce paisible. La lune dans le ciel étoilé, Déverse sa lueur. Ah ! quelle est belle cette montagne, Avec sa grandeur, Avec ses belles grottes, Qui peut-il être son compagne ? Triste,                                                  La lune chanta toute la nuit.

Ma triste et douloureuse vie

            Ma triste et douloureuse vie reprit cependant petit à petit, S'éloignant lentement en abandonnant mes rêves merveilleux, D'un jour sombre et silencieux aux différents faits joyeux, Et ma douleur devient encore plus atroce, je la maudit. Moi, je souffrais de l'idée d'abandon et d'enfermement, D'un jour sombre et silencieux aux différents faits joyeux, Mon regard se fond dans un ciel sombre et obscur             Et, je deviens de plus en plus malheureux, je suis triste. Cependant, je mène une petite existence quasi-mystérieuse. Ni joie, ni peine mais toutes les deux se manifestent à la fois. Ainsi, je ne peux pas dire qu'il n'y avait personne pour moi, Mais, je souffrais de l'idée d'abandon et d'enfermement.

Au bord du ruisseau

Sous mes petits pieds plats, coule l'eau du ruisseau. Une eau claire et fraîche aux parfums doux et sereins, Non loin de là, étaient quelques pieds de nénuphars, Voilà ce qui m'empêche de voir de près les séraphins. À l'autre bout, j'aperçois une colonie d'oiseaux marins Des pôles et, leur blancheur rejette quelques rayons Solaires, ce qui donne à ce ruisseau sa vraie beauté Longtemps manifestait et chantait par les hirondelles. C'est ici que je me réfugie pour me vider un peu la tête. Je m'assois, je l'écoute et là, mes difficultés s'envolent, Laissant ma conscience libre : c'est un endroit magique.